Ce mardi 17 novembre 2020, l’Assemblée nationale a adopté en première lecture le projet de loi de Finances pour 2021. J’ai moi-même voté en faveur de ce texte qui prévoit un budget exceptionnel pour faire face à l’urgence de la crise sanitaire tout en poursuivant la transformation du pays engagée depuis le début du quinquennat.

Ce texte déploie un plan de relance historique de 100 milliards d’euros supplémentaire pour relever notre pays tant sur l’aspect social, environnemental et économique. Ce budget profitera à tous les Français et permettra de préparer la France de 2030.

Nous oeuvrons pour l’accélération de la transition écologique, véritable priorité à laquelle nous dédions une enveloppe inédite de 30 milliards d’euros :

  • 2 milliards d’euros supplémentaires seront attribués pour étendre la prime MaPrimeRénov’, permettant aux propriétaires de financer des travaux de rénovation énergétique.
  • Une aide à l’investissement industriel dans la décarbonation de leurs activités viendra soutenir la filière française de production d’hydrogène vert et accompagnera des industries pour l’investissement d’équipements moins émetteurs de CO2.
  • Des investissements seront développés pour les transports durables. Il y aura également une augmentation de la prime à la conversion comme du bonus écologique pour l’achat d’un véhicule électrique.
  • Instauration de malus au poids pour les véhicules de plus de 1800 kilos et baisse du malus CO2 à 128g/km avec un lissage de trois ans au lieu de deux ans.
  • Plus de 400 millions d’euros soutiendront nos agriculteurs fragilisés par la crise, en les accompagnant vers une agriculture responsable.
  • Création d’un budget vert qui amènera plus de transparence sur les conséquences environnementales des politiques publiques. Il s’agit ici d’une première mondiale.

Nous accompagnons la France dans le développement de sa souveraineté industrielle et de sa compétitivité :

  • Baisse de 10 milliards d’euros par an des impôts de production à partir de 2021 : ce changement espère engager les industries à forte valeur ajoutée de revenir sur le sol français.
  • Soutien de 3 milliards d’euros au financement des entreprises pour une trésorerie et des fonds propres sur le long-terme.
  • Des investissements d’1 milliard d’euros pour la relocalisation, dont 600 millions d’euros pour les secteurs stratégiques de l’avenir tel que la santé, l’électronique, les intrants industriels et agroalimentaires.
  • Une enveloppe de 385 millions d’euros par le plan de relance et de 1,5 milliard d’euros par l’État et les territoires afin d’accompagner les ETI/PME et TPE à relever le défi numérique.

Nous faisons des compétences et de la solidarité des enjeux essentiels à la relance :

  • Des aides à l’embauche, à la formation et des emplois aidés seront créés garce au « plan jeune », doté de 6,7 milliards d’euros.
  • Un budget de 7,6 milliards d’euros permettra aux salariés de garder leur travail grâce à l’activité partielle de longue durée.
  • Aider les salariés à monter en compétences, avec 1 milliard d’euros pour France compétence et Pôle Emploi, 900 millions d’euros pour un programme d’investissement dans la formation.
  • Un soutien aux mesures d’égalité et de solidarité dans les territoires (haut débit, lutte contre l’exclusion…)

Baisser les impôts et financer nos priorités : nous nous y sommes engagés, nous nous y tenons.

Le budget voté ce mardi est historique en tout point : par son contexte, par son ampleur, mais aussi par les avancées majeures qu’il porte. L’enjeu maintenant est qu’il soit mis en oeuvre rapidement et efficacement : cette concrétisation se fera grâce à l’ensemble des acteurs du terrain.

 

Contact presse : Valentine PARQUET, valentine.parquet@clb-an.fr

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